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De Transcription | Bibliothèque patrimoniale numérique Mines ParisTech
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46i exprimé en kilogrammes par millimètre carré. Elle représente les résultats des expériences à peu près au même degré d'approximation que la DES MATÉRIAUX.

RÉSISTANCE

460

TABLEAU VII. Barres de 3m,948 de long et 2cen1..54 d'épaisseur.

_

première.

ACCROISSEMENTS

cnnucn

par

millimètre quarré. kil. 1,57

2 x 1,57 3 X id.

4 x id. 5 x id

6 X id. 7 X id.

8 x id. ' X id. 10 x id. H x id. 12 x id.

13 X id. 14 X id.

15 x id.

de la compression proportionnelle, correspondant aux charges additionnelles

Compressions permanentes. TABLEAU VIII.

successives.

Barres de 3m,048 de largeur et 2cent., 54 d'équarrissage.

0,000169 0,000175 0,000180 0,000178 0,000180 0,000181 0,000183 0,000184 0,000186

CHARGES

par millimètre quarré.

0,000203 0,000206

26,69

0,003173

1,57

M. Hodgkinson conclut de ses nombreuses ex-

périences que, dans les limites entre lesquelles la proportionnalité se soutient sensiblement, la longueur diminue de 0.00°118 par kilogramme par millimètre carré, ce qui donne E= 8474, on

8 milliards et demi, le mètre étant pris pour unité. Le coefficient d'élasticité relatif à la compression serait donc inférieur de 14 p. ion à celui qui se rapporte à l'extension. M. Hodgkinson a établi pour la compression

comme pour l'extension une relation empirique entre les variations de longueur proportionnelles et les charges correspondantes. Cette formule est P

9.052 i- 366.085

COMPRESSIONS

permanentes proportionnelles.

kil.

1,000187 0,000188 0,000190 0,000191 0,000196 0,000196

16 X id. 17 X id.

FONTE.

P étant

3,14 4,71 6,28 7,85 9,42 10,99 12,56 14,13 15,70 17,27 18,84 20,41 21,98 23,55 25,12 26,69

0,000004 0,000020 0,000036 0,000058 0,000076 0,000098 0,000113 0,000154 0,000201 0,000234 0,000267 0,000323 0,000362 0,000438 0,000500 0,000669 0,000719

La comparaison de ce tableau et du tableau n° IV (p. 443) indique qu'à charges égales les déformations permanentes par compression sont du même ordre de grandeur que celles qui persistent après l'extension ; mais que les premières sont inférieures aux secondes, et d'autant plus que les efforts sont plus considérables. Ces résultats sont loin d'ailleurs de confirmer la loi si simple énoncée par l'auteur anglais : les compressions permanentes sont proportionnelles

aux quarrés des charges.