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au toit du filon de quartz il y a une forte [?] kaolinique mêlée de fragments de quartz. La formation du filon quartzeux parait d'ailleurs bien dépendre de l'éruption du granite, car tous ceux que l'on rencontre dans la chaîne du Pilas sont fort rapprochés du granite qui a percé et soulevé des roches schisteuses. Dans la chaîne du Forez, au pied occidental du Puy Montoncelle on rencontre au milieu du granite même plusieurs filons de quartz ; entre autres au hameau des Combres un filon de 1500 mes de longueur sur 10 mes de puissance, et [?], au hameau de Boujean un filon parallèle de 15 mes de largeur. Ils sont orienté parallèlement aux massifs granitiques. Le quartz est blanc de lait, cristallin, très pur et sans mélange. A St-Julien-la-Vestre sur la route de Lyon à Clermont, près de Noirétable, un filon pareil contient des paquets de larges lames d'un beau mica doré, semblable à celui des gisements d'étain de [?]. Il est des filons quartzeux qui se lient, dans la Loire, aux porphyres quartzifères mais ce n'est point le cas de ceux dont je viens de parler. A St Galmier surtout l'origine granitique du filon de quartz est évidente. Il y a là un massif isolé de granite qui perce à travers le gneiss et lui imprime une allure tout à fait anormale autour de la protubérance granitique le gneiss est sillonné par une multitude de filons les uns granitiques, les autres et le plus grand nombre quartzeux. Leur direction n'est point constante. On ne peut méconnaître leur disposition étoilée autour du massif granitique. Le quartz est [?] même au milieu du gneiss, en veinule extrêmement minces et nulle part le gneiss au contact du granite parait avoir subi l'influence d'une température très élevée. Mais un fait surtout qui m'a souvent frappé dans le dépt de la Loire, ce sont les blocs aux lambeaux de gneiss et de mécaschiste