Annales des Mines (1912, série 11, volume 2) [Image 52]

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Nous voyons donc que la température nécessaire pour l'inflammation du sucre, dans les conditions des essais, est de 450 à 490° ; elle est de 465 à 540° pour la farine et de 540 à 640° pour le lycopode.

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EXPÉRIENCES SDR LES POUSSIÈRES DE HOUILLE

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3° Dégagement des matières volatiles avant l'inflammation. — Les essais ont porté uniquement sur du charbon de Liévin, broyé pendant une heure au pulvérisateur Alsin g; sa teneur en matières volatiles avant l'essai était de 28,4 0/0; ces poussières donnent un refus de 1,5 0/0 au tamis 240 et de 7 0/0 au tamis 200. Nous avons soufflé le charbon dans le tube chauffé à 700°, nous n'avons pas obtenu d'inflammation, et nous avons recueilli les poussières après leur passage dans le tube; le poids de la poussière soufflée était de 0 Br ,l ; nous avons répété les essais, de façon à recueillir une quantité de poussière suffisante pour le dosage des matières volatiles. Nous avons constaté que la teneur avait baissé de 2,2 0/0 par suite -du passage des poussières dans le tube chauffé à 700°. Ceci démontre donc le dégagement des matières volatiles avant l'inflammation. r»e plus lorsque l'on est près de la température d'inflammation et en dessous de celle-ci, on constate que le nuage qui sort du tube a un aspect blanc grisâtre, probablement dû aux premières matières volatiles dégagées ; ces dernières sont en effet très riches en produits goudronneux et la condensation de ces derniers doit donner cet aspect particulier au nuage. Si nous remarquons que le volume d'air soufflé, évalué d'après la chute de pression, est d'environ 250 centimètres cubes, nous voyons que les matières volatiles dégagées correspondent à environ 1 0/0 du volume d'air soufflé ; mais il faut observer que les poussières sont entraînées