Annales des Mines (1880, série 7, volume 18) [Image 218]

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FREIN A EMBRAYAGE ÉLECTRIQUE DE M. ACII ,R D

434

VITESSE

INCLINAISON

CHEMIN

'mirs

au

de la voie.

Parcouru

mis

moment ...---._..---....------ jusqu'à l'arrêt du

ARRÊTS.

,

i

oDSERVATIONS.

. .'

serrage.

Pentes.

Rampes. complet. parcourir.

hilom.

millim.

millim. 2,6

ET FREIN PNEUMATIQUE DE M. SMITH.

AIIIIETS.

VITESSE

INCLINAISON

CHEMIN

au muaient

TEMPS

de la voie.

Parcouru

mis

du serrage.

_....,...__...

jasqll'a l'arrêt

455

OBSEIIVATIONS.

à le

Pentes. Rampes. complet. parcourir.

_

37

0

-10

o

o

45

o

1

78 89 113 130

60 85

1

71

1

»

218 420 310

35

Pierrefitte Gonesse Goussainville . . . Louvres '

' Survilliers Orry-la-Ville..

.

.

Chantilly.

mètres. secondes.

71,

o

1

14 14

Rails secs pendant toute

la durée de l'essai.

17 19

Saint-Denis

lilloin. 65

Pierrefite. .

46

Gonesse

42

millian. 0

23 37

30

-0

millin,

tnètrei. secondes.

0

'227

12

2,6

117

16

0

101

15

Frein fait par le commu-

tateur de la machine.

Freill fait par le commu-

tateur du fourgon de

tété. j Frein fait par le commu-

tateur de la machine. Idem.

30

Couvres

EXPÉRIENCE DU 27 OCTOBRE t 877.

e

1

65

12

Le disque à distance étant à l'arrêt a déclenché le commutateur de la machine et Frein fait par le commu-

pfraelinsuite appliqué le

véhicules, dont six munis du frein ; machine comme ci-dessus. Les six voitures à frein Train

119,

formé de

12

sont partagées en deux groupes de trois, l'un en tête, l'autre en queue, mis en action simultanément par une

1

211

19

Orry-la-Ville

65 84

1

405

34

Disque de Chantilly

82

5

450'

Survilliers . .

..

tateur de la machine. Idem.

Frein déclenché par le t disque à l'arrêt.

!

FYein fait par le commu-

Chantilly

tateur du fourgon de

7,

queue. Rails gras pendant toute la durée de l'essai.

seule manoeuvre. Poids total, environ Poids enrayé Fraction enrayée

.

155.200 80.700 0,61

1

Ces exemples ont été choisis sur un grand nombre, de manière à montrer les effets obtenus en agissant, soit sur la presque totalité, soit sur la moitié environ du train, et dans des circonstances atmosphériques très différentes. Comme cas extrêmes, on remarquera que clans les circonstances les plus favorables, c'est-à-dire avec le train presque entièrement enrayé, avec le rail bien sec, une vitesse de 76 kilomètres à l'heure, sur une pente de 5 millimètres d'abord et de 2-"',6 à la fin, a pu être annihilée dans un parcours de 255 mètres et dans l'espace de 18 secondes.

Le train n'étant qu'à peu près à moitié enrayé, mais là rail bien sec, une vitesse de 85 kilomètres, sur une pente de i

millimètre, a exigé

42o

mètres et 57 secondes.

Le rail étant gras, nous trouvons que, sans employer de sable, on a pu, avec le train presque entièrement enrayé, détruire une vitesse de 67 kilomètres, sur une pente de