Journal des Mines (1807, volume 21) [Image 221]

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ACTUELLE, etc 430 THÉORIE DE LA SURFACE

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sur-tout si on les restreint au ralistes célèbres, croient dernier changement- Vos commissaires personnellement une même pouvoir en adopter très-bien que les, conçoivent partie, quoiqu'ils n'avoir pas motifs qui les déterminent peuvent monde; mais., par tout le la même influence surénoncées ci-devant , ils ne, les raisons qu'ils ont la Classe à se procroient point devoir engager semblables. noncer sur des sujets n'hésitent point à lui proposer, Mais ce qu'ils qu'elle André l'estime /c'est de témoigner à M. recherches., et au z,ele doit à ses laborieusescontinuer ses travaux utiéclairé qui' le porte à aussi avancé que le sic". les dans un âge point que l'ouvrage de ce sa, Ils ne doutent soit accueilli des naturalisne vant respectable doit l'être une collection aussi tes , comme 'riche de faits intéressons. du Louvre, le Fait au Palais impérial HA-4Y, CUVIER,

août 1806 , signés , LELIÈVRE,, Rapporte-ur. et en adopte La Classe approuve' ceRapport es conclusions.

Certifié conforme

Le Secrétaire perpétuel. G. CUVIER.

REMARQUES Suit la Théorie de ta szajàce actuelle de la terre, de M. André. Par M. B r, oc xi A N T , Ingénieur des Mines.

DE uis quelques années l'on n'avait vu paraître aucun ouvrage qui eût pour objet principal la théorie de la terre. Presque tous les géologues , se contentent actuellement de réunir des observations, et ne cherchent point 4 inventer de nouvelles hypothèses : chacun ramène, il est vrai, tous les faits qu'il observe aux causes qu'il regarde comme les plus probables ; mais il s'en trouve peu'qui prétendent aujourd'hui établir une théorie générale propre à expliquer tous les cas que présente la nature. Après avoir long-teins erré de systé-Imes en. systèmes, on a enfin reconnu fitlloit, sans remonter aux causes premières , se borner à

assigner les causes immédiates des faits les plus évidens , les plus généralement observés , et laisser sans explications tous ceux qui présentent encore quelques cloutes ; soit que ces faits -dus à des causes générales , aient été jusqu'ici mal observés, soit qu'ifs aient laissé trop peu de

traces des causes particulières qui ont pu les

produire.

Dans l'ouvrage' dont. il est ici question M. André s'est peu écarté de ces principes; il l'a divisé en trois Parties, les cieux premières F