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MASSE DE FER DE TB1RIE, etc: de la pierre Islande - est la cause première
en origine de trèsdu comté d'York. C'est tirer son. émanaloin et d'un bien grand espace, car les côtés. Il ne tions d'un volcan s'étendent de touS en lila distance s'agit donc pas seulement decomté qui d'York. , gne directe de l'Heckla au mais de toute l'étenest au moins de 3oo lieues circonférence , et due que ce rayondécrirait en l'atmosphère , à de l'épaisseur de la couche de comprises dans partir du sommet de l'lleckla, ce cercle de 1800 lieues. l'impossibilité de cette Je ne m'arrêterai pas à évidente. Je remarqueconjecture elle est trop et les fumées rai seulement que si les vapeurs des pierres ce des volcans pouvaient former de distant 3oo lieues ne serait pas un seul point les enviqui en montrerait un exemple , mais des distances les volcans dans
rons de tous n'arrive pas et bien plus rapprochées, ce qui
n'arrivera jamais. du chevalier J'ai appris qu'on cite la relation Vésuve de du - Hamilton qui, dans l'éruption Jeu sortir des nuages de des baltes de 1794, vit près du fumée, dont l'une tomba dans la merl'eau. rejaillisse-ment de rivage , et causa un remarque. Je ferai sur ce sujet une première au-dessus du volparu Ces balles,defeu ayantd'éruption, ne peuvent can dans un moment exemple, le cas n'est plus le _ pas être citées en -même. Mais le fait n'a rien d'extraordinaire a été témoin des exyour un observateur qui plusieurs .fois plosions volcaniques. Je l'ai été de très-près. au Vésuve , et je les ai vues les deux bouches du craDans ces momens lancent tère, et principalement celle du milieu ,
MASSE DE FER DE SIBERIE
, etc.
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à une grande hauteur des gerbes de matières ardentes qui retombent à plus ou moins loignement du centre de l'explosion; la plupart dépassent la fumée et paraissent au dehors.
Parmi ces matières ardentes, dont lé plus grand nombre sont des scories phis ou moins bourL, soUlfiées et effilées , il y en a quelques-unes compactes, qui prennent', en: se séparant de la, matière en fusion, la forme de lamés, ou' ude gouttes de diverses grandeurs , dont les unes
sont en boules et d'autres allongées. J'en ai rapporté plusieurs du Vésuve que je trouvai sur le cône récent que l'éruption avait élevé, .
et quelques-unes du Mont-Rosso dé- Pana: 'Si quelqu'une de ces gouttes est lancéé dans une direction obliqué, partant de cette élévation, elle peut très-bien atteindre le bord de la mer, qui n'est pas à plus d'une lieue de distance en
ligne directe. La chiite de- ce corps solide remarquée par le jaillissement de l'eau, est une preuve
de la vérité de cette explication, car rien de
solide n'a pu sortir que du cratère. Il est donc très-apparent que les balles defec observées par le chevalier Hamilton, étaient .de ces boutes ardentes lancées hors du cratère et des fumées. Pourquoi eliercherait- on des formations. impossibles., qui prendraient naissance .
dans les fumées du volcan lorsqu'il-- existe une manière simple et naturelle d'expliquer le fait? Feu M. Dolomieu , en parcourant ma col-
lection de matières volcaniques, , fut surpris d'y
voir ces gouttes, dont l'une pèse six livres et demie. Il me dit qu'elles lui étaient nouvelles qu'il n'en avait point rencontrées. Il 'est possible Volume 13. G