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Lamine de bocard avoit été employé à r:parer les chemins.
50. De la pyrite sulfureuse, quelquefois
Cristallisée. C'est assez souvent dans les partes caverneuses de la blende. et de. la pyrite qu'on trouve le plomb spathique blanc. 6.. De la pierre calaminaire , irrégulière caverneuse, rarement en stalactite , quelquefois parsemée de galène. Le citoyen Sage parle de cette calamine dans les Mémoires de l'Académie des Sciences, an. 17no , pag. 627. Elle est en. niassesplus on moins cellulaires , d'un
Il n'y a point été construit de fourneaux
niais il y avait une laverie solidement bâtie à peu de distance de la mine. On se proposait aussi d'établir un bOtard quand on auroit eX7trait assez de maiières à bocarder, et on avait acquis près de-là un moulin , afin d'être maître du cours-d'eau; en ménageant ce même cour: -
deaut, on pourroit en avoir assez pour faire aller les soufflets d'un fourneau d'affinage niais il ne faut rien espérer au-delà , et .il faudra renoncer , lorsqu'on Utira une fonde-
blanc veratre. L'analvse a' fait connaître à ce chimiste qu'elle étoit aussi -pure et aussi
bonne que celles du comté de Sommeiset en Angleterre, et du pays de Limbourg. Il conseille de mettre à part cette mine de zinc terreuse, qui est abondante dans la mine de plomb de Pierreville.
Ces blendes et ces calamines ne peuvent, suivant le citoyen Besson, qu'occasionner de la perte dans les fontes , ,par la quantité de
combustible qu'elles exigent pour entrer en fusion, et par le plomb que le zinc entraîne avec lui en se sublimant.
Cette mine est importante , et le citoyen Duhamel croit que la valeur des matières
extraii és en .1788 et 1789, surpassait les frais d'e.x.ploitation,- qui sont beaucoup accrus par
l'abondance des eaux. Il existoit encore sur
les travaux, d'après les citoyens Sorel au commencement de fan JfJc, cinquante milliers de, plomb cassé , prêt à fondre , cent milliers de schlich non-lavé , autant cl' attraits , quarante milliers de blende et dix milliers de calamine.
rie, à construire des fourneaux à soufflets mus par l'eau.
Des fourneaux de reverbère devront donc
,
être substitués aux fourneaux à manche. Ce qui s'opposera davantage au grand succès
de cette entreprise , ce seront les eaux de .14 mine. Elles exigeront néressairement des machines ; et le local ne permettant pas d'en
établir d'hydrauliques on ne pourra hure usage que de celles mues par les chevaux ou par le feu. Celles-ci seroient à préférer si l'on ponv,oit se procurer un combustible quelconque à un pri4 modéré. La rareté du bois est un autre
incontient
majeur. La foret de Briquebec n'est, à la
vérité, qu'à trois lieues de Pierreyille ; mais les chemins sont si difficiles , qu'on n'a pu jusqu'ici employer à la mine , des bois de cette forêt ; ceux qu'on a employés pour le outien des puits et des galeries , (toient de A4