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De Transcription | Bibliothèque patrimoniale numérique Mines ParisTech
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233 où l'on ne peut placer les roües qu'à une distance de plusieurs centaines de toises du puits des pompes ou puisard, alors les tirants, qui, des manivelles de la roües répondent aux croix ou quarts de cercle posés sur le puits, sont très couteux. On peut comme à la machines de Marly placer les tirants sur le penchant d'une montagne, mais il vaut mieux les faire passer dans une galerie qui du pied de la montagne reponde au puits des pompes, surtout quand cette galerie est dans un seul alignement et non anguleuse, car en ce cas on est forcé de detourner la direction des tirants par des Würbock placés à chaque angle, les allemands appellent ainsi un arbre vertical, tournant sur son pivot et dans un colier qui est à sa partie superieure ; à cet arbre sont assemblés deux bras horizontaux, la figure onze de la planche 7 fait voire cette machine : en A est l'arbre tournant B,B sont les bras et C en lieu pour en empêcher l'écartement aux dits bras sont fixés par des boulons qui en permettent le jeu, les deux tirants D et E, il faut observer que plus l'angle intercepté entre la direction des deux tirant est grand, et moins celui formé par les deux bras du Würbock doit l'être ; en sorte que si l'angle F formé par les deux directions prolongées des deux tirants D et E est obtus, par éxemple de 150 degrés, il faudra que l'angle BAB, intercepté entre les deux bras soit aigu et qu'il n'ait que 30