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De Transcription | Bibliothèque patrimoniale numérique Mines ParisTech
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2° Les imprégnations des pyrites dans le gabbro (Ytte?? vigmos  ) nous fournirons une autre preuve. Le gabbro supérieur aux schistes puisqu'il les relève; les pyrites postérieures au  gabbro puis qu'elle l'imprègnent.[illisible] pyrites n'ont pu être déposées en même temps que les schistes. Peu importe que cette imprégnation n'ait lieu sur une faible épaisseur très faible; cela prouve simplement que le [illisible]était difficilement pénétrable à ces émanations; mais il est impossible d'admettre qu'il a subi d'émanations antérieures de plusieurs milliers de siècle . On peut rapprocher de ce fait la présence de la pyrite le filon de felsite porphyre à Yttero ; elle est tout aussi inexplicable pour les partisans de M. Helland que les imprégnations dont nous venons de parler .  
 
2° Les imprégnations des pyrites dans le gabbro (Ytte?? vigmos  ) nous fournirons une autre preuve. Le gabbro supérieur aux schistes puisqu'il les relève; les pyrites postérieures au  gabbro puis qu'elle l'imprègnent.[illisible] pyrites n'ont pu être déposées en même temps que les schistes. Peu importe que cette imprégnation n'ait lieu sur une faible épaisseur très faible; cela prouve simplement que le [illisible]était difficilement pénétrable à ces émanations; mais il est impossible d'admettre qu'il a subi d'émanations antérieures de plusieurs milliers de siècle . On peut rapprocher de ce fait la présence de la pyrite le filon de felsite porphyre à Yttero ; elle est tout aussi inexplicable pour les partisans de M. Helland que les imprégnations dont nous venons de parler .  
 
3°Autre fait : on a vu qu'à Storvärt , le gîte est traversé par un filon de quartz de cuivre . Comment concilier cela avec l'origine sédimentaire de cette pyrite , ici ou il est impossible [illisible] l'origine éruptive du quart lui-même ? Il en est de même de l'exemple de Vigmoes ou l'on voit des quartz nettement filoniens traversant les gabbros et les schistes en dehors même du gîte et accompagnés de pyrite de cuivre. Il faut donc abandonner au moins l'origine sédimentaire pour la pyrite cuivreuse et la réserver pour la pyrite [illisible]. Mais cette distinction ne paraîtra peut être pas non plus suffisamment fondée.
 
3°Autre fait : on a vu qu'à Storvärt , le gîte est traversé par un filon de quartz de cuivre . Comment concilier cela avec l'origine sédimentaire de cette pyrite , ici ou il est impossible [illisible] l'origine éruptive du quart lui-même ? Il en est de même de l'exemple de Vigmoes ou l'on voit des quartz nettement filoniens traversant les gabbros et les schistes en dehors même du gîte et accompagnés de pyrite de cuivre. Il faut donc abandonner au moins l'origine sédimentaire pour la pyrite cuivreuse et la réserver pour la pyrite [illisible]. Mais cette distinction ne paraîtra peut être pas non plus suffisamment fondée.
4°Il n'est pas juqu'a la présence presque constante de la [illisible] dont M . Helland   avait voulu se faire  un argument et qu? pourtant une preuve nouvelle de la théorie qu'il vaut combattre. Pour lui ce fait prouvait que tous les gîtes trouvent un même niveau. Nous avons vu  qu'il n'en était rien et que la chlorite accompagne toujours le minerai  que l'on soit au niveau du silurien supérieur ou à cela du Cambrien supérieur. Comment expliquer alors cette association constante? Si la phorite était sédimentaire , M. HELland pourrait peut être y arrivé  mais elle est éruptive car elle traverse les gîte de Gothaab et Strovärt [illisible] éponte à l'autre; elle est plus postérieure à la pyrite dès lors l'explication est facile; c'est dans les parties les plus fissurées des schistes que les pyrites ont dû se déposer. C'est la aussi que la chlorite venue après les sulfures a laissé des trace. En un mots M Kjrulf a eu raison 
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4°Il n'est pas juqu'a la présence presque constante de la [illisible] dont M . Helland   avait voulu se faire  un argument et qu? pourtant une preuve nouvelle de la théorie qu'il vaut combattre. Pour lui ce fait prouvait que tous les gîtes trouvent un même niveau. Nous avons vu  qu'il n'en était rien et que la chlorite accompagne toujours le minerai  que l'on soit au niveau du silurien supérieur ou à cela du Cambrien supérieur. Comment expliquer alors cette association constante? Si la phorite était sédimentaire , M. HELland pourrait peut être y arrivé  mais elle est éruptive car elle traverse les gîte de Gothaab et Strovärt [illisible] éponte à l'autre; elle est plus postérieure à la pyrite dès lors l'explication est facile; c'est dans les parties les plus fissurées des schistes que les pyrites ont dû se déposer. C'est la aussi que la chlorite venue après les sulfures a laissé des trace. En un mots M Kjrulf a eu raison de

Version du 8 juillet 2020 à 15:10

éruptifs; ces faits de contact mêmes , ou bien admettre l'explication de M; kJERULF. 2° Les imprégnations des pyrites dans le gabbro (Ytte?? vigmos  ) nous fournirons une autre preuve. Le gabbro supérieur aux schistes puisqu'il les relève; les pyrites postérieures au  gabbro puis qu'elle l'imprègnent.[illisible] pyrites n'ont pu être déposées en même temps que les schistes. Peu importe que cette imprégnation n'ait lieu sur une faible épaisseur très faible; cela prouve simplement que le [illisible]était difficilement pénétrable à ces émanations; mais il est impossible d'admettre qu'il a subi d'émanations antérieures de plusieurs milliers de siècle . On peut rapprocher de ce fait la présence de la pyrite le filon de felsite porphyre à Yttero ; elle est tout aussi inexplicable pour les partisans de M. Helland que les imprégnations dont nous venons de parler . 3°Autre fait : on a vu qu'à Storvärt , le gîte est traversé par un filon de quartz de cuivre . Comment concilier cela avec l'origine sédimentaire de cette pyrite , ici ou il est impossible [illisible] l'origine éruptive du quart lui-même ? Il en est de même de l'exemple de Vigmoes ou l'on voit des quartz nettement filoniens traversant les gabbros et les schistes en dehors même du gîte et accompagnés de pyrite de cuivre. Il faut donc abandonner au moins l'origine sédimentaire pour la pyrite cuivreuse et la réserver pour la pyrite [illisible]. Mais cette distinction ne paraîtra peut être pas non plus suffisamment fondée. 4°Il n'est pas juqu'a la présence presque constante de la [illisible] dont M . Helland   avait voulu se faire  un argument et qu? pourtant une preuve nouvelle de la théorie qu'il vaut combattre. Pour lui ce fait prouvait que tous les gîtes trouvent un même niveau. Nous avons vu  qu'il n'en était rien et que la chlorite accompagne toujours le minerai  que l'on soit au niveau du silurien supérieur ou à cela du Cambrien supérieur. Comment expliquer alors cette association constante? Si la phorite était sédimentaire , M. HELland pourrait peut être y arrivé  mais elle est éruptive car elle traverse les gîte de Gothaab et Strovärt [illisible] éponte à l'autre; elle est plus postérieure à la pyrite dès lors l'explication est facile; c'est dans les parties les plus fissurées des schistes que les pyrites ont dû se déposer. C'est la aussi que la chlorite venue après les sulfures a laissé des trace. En un mots M Kjrulf a eu raison de