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De Transcription | Bibliothèque patrimoniale numérique Mines ParisTech
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et sur 1300 mètre en pendage. Le minerai est formé de pyrites cuivreuses et magnétique avec peu de pyrite de fer ça  et la . D'après M. [illisible] les parties moyennes sont les plus riches. La couche est accompagnée de quartz qui la prolonge  après que la puissance des parties pyriteuses a disparu. On trouve avec la pyrite de la blende , plus rarement de la galène, du mispichel , de la mobybdénite, du  fer micacé , du cuivre natif . Le gîte est traversé par deux  filons  calcaires qui ne produisent pas de rejet; a  1000 mètres du jour on observe une bifurcation en un point ou la puissance atteint son maximum, c'est à dire à 5 mètres. On a suivi le rameau inférieur qui ne tarde pas à s'évanouir, le rameau supérieur se continue au contraire très loin encore; on trouve dans la partie comprise entre les deux rameaux une roche plus quatzeuse et un peu micacée. Il est difficile de se rendre compte de la forme de la direction des plans de schistosit"s dans le vosinage de la bifurcation. Aussi  Mm Pris et Helland ne sont pas d'accord sur ce point , voici quelle serait d'après chacun d'eux la disposition de ces schistes. [coupes] D'après M Pris                       d'après M. Helland [coupe]                                     [coupe]

Ni l'une ni l'autre des deux hypothèses n'a pu être vérifiées Le minerai  ne se forme pas à NY Storvarts ni dans les autres  mines  de ce groupe , des masses de grande puissance comme à Yttero. ou à Vigmoes. Ce ne sont pas des gîtes de pyrite massive, mais des schistes imprégnés. La pyrite de cuivre forme des nodules et des rognons lenticulaires, suivant les schistes. Ces rognons  ne sont pas distribués au hasard , mais ils sont les uns aux autres de manière à former une sorte de chapelet . Les feuilles de schistes chloriteux se recourbent autour des nodule et semblent en épouser les formes. Ma ou il y a de la pyrite de fer , les nodules sont généralement plus épais et ils enchâssent qualquefois des plaques de schistes chloriteux. Un fait important a été signalé par un géologue français, M. Duchauss?? ,la puissance serait très grande dans les schistes  grenatifères moyenne dans les schistes  talqueux et  chlorités , et petite dans les schistes quartzeux et micacés. Toutefois nous devons dire que M. Helland a été conduit par ses propres observations à révoquer en doute l'assertion de M. duchau??? et qu'il n'a pas