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De Transcription | Bibliothèque patrimoniale numérique Mines ParisTech
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Jusqu'à une certaine profondeur 200 mètres environ la l????  penche vers l'ouest mais au dessous elle semble  reporter davantage vers l'est. D'après M. helland les parties les plus rapprochées des deux épontes seraient riche en cuivre, la partie centrale serait pauvre. Il n'en est rien, au dessus du niveau 160 c'est à dire quand le gîte est divisé en trois couches, la couche du mur est formée de pyrite de fer blanche sans trace de cuivre les deux autres sont  homogènes et contiennent  environ 4 à 5 % de cuivre. Au dessous du niveau 160 quand les trois couches se sont réunies, la couche de pyrite blanche sans cuivre subsiste et l'on la retrouve sous une épaisseur constante au mur. Au dela de cette feuille de pyrite de fer pure on trouve un minerai homogène riche en cuivre qui  semble principalement  juxtaposé au minerai blanc car il n'y a aucune transition  de l'un à l'autre. Toutefois le cuivre est moins abondant en profondeur.Le minerai contient aussi un peu de zinc; le blende et la pyrite  alternent en feuilles minces dans certaines parties du gîte. Dans d'autre la blende est associée au  quartz riche en pyrite de cuivre pure. On trouve aussi des noyaux de quartz associés à cette pyrite etparfois [illisible] on trouve aussi de la blende dans ces noyaux. D'ailleurs  le quartz est toujours accompagné du cuivre même hors du gîte. On rencontre dans la couche de pyrite de fer des  druses avec des zonoèdre de calcite. Les schistes argileux encaissants [illisible] parfois aux schistes talqueux et chloriteux. On trouve dans l'île de nombreuses éruptions de gabbros et  en certains points du mur  on trouve  le gabbro au contact même du gîte, dans  ce cas il est imprégné de pyrite sur une certaine  épaisseur comme les schistes eux-mêmes.  
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Jusqu'à une certaine profondeur 200 mètres environ la l???? penche vers l'ouest mais au dessous elle semble reporter davantage vers l'est. D'après M. Helland les parties les plus rapprochées des deux épontes seraient riche en cuivre, la partie centrale serait pauvre. Il n'en est rien, au-dessus du niveau 160 c'est à dire quand le gîte est divisé en trois couches, la couche du mur est formée de pyrite de fer blanche sans trace de cuivre les deux autres sont homogènes et contiennent environ 4 à 5 % de cuivre. Au-dessous du niveau 160 quand les trois couches se sont réunies, la couche de pyrite blanche sans cuivre subsiste et l'on la retrouve sous une épaisseur constante au mur. Au-dela de cette feuille de pyrite de fer pure on trouve un minerai homogène riche en cuivre qui semble principalement juxtaposé au minerai blanc car il n'y a aucune transition de l'un à l'autre. Toutefois le cuivre est moins abondant en profondeur.Le minerai contient aussi un peu de zinc; le blende et la pyrite alternent en feuilles minces dans certaines parties du gîte. Dans d'autre la blende est associée au quartz riche en pyrite de cuivre pure. On trouve aussi des noyaux de quartz associés à cette pyrite et parfois [illisible] on trouve aussi de la blende dans ces noyaux. D'ailleurs le quartz est toujours accompagné du cuivre même hors du gîte. On rencontre dans la couche de pyrite de fer des druses avec des zonoèdre de calcite. Les schistes argileux encaissants [illisible] parfois aux schistes talqueux et chloriteux. On trouve dans l'île de nombreuses éruptions de gabbros et en certains points du mur on trouve le gabbro au contact même du gîte, dans ce cas il est imprégné de pyrite sur une certaine épaisseur comme les schistes eux-mêmes.  
 
Nouveau gîte.  
 
Nouveau gîte.  
Un jour en 1876 en voulant faire une galerie pour rejoindre un puits d'aérage, on tomba sur un nouveaugîte que l'on  ne soupçonnait pas parce qu'il n'apparaissait pas au jour. Il est à peu près dans le prolongement du premier et on a relié les deux gîtes par une série de galeries de niveau, depuis le   niveau 52 ou l'on trouve la pyrite du nouveau  gîte pour la première fois jusqu'au  niveau 233 , actuellement en percement. Le nouveau gîte est un lentille inclinée comme l'ancien , mais elle s'incline plus à l'ouest de sorte que la distance des deux gîtes va en augmentant.
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Un jour en 1876 en voulant faire une galerie pour rejoindre un puits d'aérage, on tomba sur un nouveau gîte que l'on ne soupçonnait pas parce qu'il n'apparaissait pas au jour. Il est à peu près dans le prolongement du premier et on a relié les deux gîtes par une série de galeries de niveau, depuis le   niveau 52 ou l'on trouve la pyrite du nouveau gîte pour la première fois jusqu'au niveau 233 , actuellement en percement. Le nouveau gîte est un lentille inclinée comme l'ancien , mais elle s'incline plus à l'ouest de sorte que la distance des deux gîtes va en augmentant.

Version actuelle en date du 27 juillet 2020 à 14:08

Jusqu'à une certaine profondeur 200 mètres environ la l???? penche vers l'ouest mais au dessous elle semble reporter davantage vers l'est. D'après M. Helland les parties les plus rapprochées des deux épontes seraient riche en cuivre, la partie centrale serait pauvre. Il n'en est rien, au-dessus du niveau 160 c'est à dire quand le gîte est divisé en trois couches, la couche du mur est formée de pyrite de fer blanche sans trace de cuivre les deux autres sont homogènes et contiennent environ 4 à 5 % de cuivre. Au-dessous du niveau 160 quand les trois couches se sont réunies, la couche de pyrite blanche sans cuivre subsiste et l'on la retrouve sous une épaisseur constante au mur. Au-dela de cette feuille de pyrite de fer pure on trouve un minerai homogène riche en cuivre qui semble principalement juxtaposé au minerai blanc car il n'y a aucune transition de l'un à l'autre. Toutefois le cuivre est moins abondant en profondeur.Le minerai contient aussi un peu de zinc; le blende et la pyrite alternent en feuilles minces dans certaines parties du gîte. Dans d'autre la blende est associée au quartz riche en pyrite de cuivre pure. On trouve aussi des noyaux de quartz associés à cette pyrite et parfois [illisible] on trouve aussi de la blende dans ces noyaux. D'ailleurs le quartz est toujours accompagné du cuivre même hors du gîte. On rencontre dans la couche de pyrite de fer des druses avec des zonoèdre de calcite. Les schistes argileux encaissants [illisible] parfois aux schistes talqueux et chloriteux. On trouve dans l'île de nombreuses éruptions de gabbros et en certains points du mur on trouve le gabbro au contact même du gîte, dans ce cas il est imprégné de pyrite sur une certaine épaisseur comme les schistes eux-mêmes. Nouveau gîte. Un jour en 1876 en voulant faire une galerie pour rejoindre un puits d'aérage, on tomba sur un nouveau gîte que l'on ne soupçonnait pas parce qu'il n'apparaissait pas au jour. Il est à peu près dans le prolongement du premier et on a relié les deux gîtes par une série de galeries de niveau, depuis le niveau 52 ou l'on trouve la pyrite du nouveau gîte pour la première fois jusqu'au niveau 233 , actuellement en percement. Le nouveau gîte est un lentille inclinée comme l'ancien , mais elle s'incline plus à l'ouest de sorte que la distance des deux gîtes va en augmentant.