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De Transcription | Bibliothèque patrimoniale numérique Mines ParisTech
Version du 8 juillet 2023 à 09:19 par GRISONI (discuter | contributions)

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| 161 | 2/3 que s'ils avaient plus de longueur, la charge des deux chevaux éxcederait leur puissance. Secondement que si avec les mêmes bras de leviers du manege on voulait n'appliuqer que dex chevaux à une machine ordinaire chargée du même fardeau, il faudrait que les rayons du cylindre ou tambour de cette machine [illisible]boruér à la longueur de ceux des petits bouts des cônes tronquée de celle dont il est ici question, et comme ce rayon est de 3 pieds 4 pouces 8 ligues 2/3, le diametre serait de 6 pieds, 9 pouces ligues 1/3, qui donne pour circonference 21 pieds 4 pouces ; le tambour ou Baritel ordinaire ne ferait donc monter le sçeau que de cette quantité à chacune de ses revolutions, on va bientôt voir que celui à cônes a un avantage de plus d'un tiers à cet égard. | [illisible] le démontrer il faut, d'après nos premieres données, chercher les rayons moyens des cônes qui puissent convenir à la puissance des deux chevaux pour cet effet on fera l'analogie suivante ; comme 1000 livres (poids des matieres continües dans le seau) sont à 390 livres, puissance de deux chevaux, ainsi 16 pieds bras de levier du manege, sont au rayon que l'on cherche, qui, après le calcul, se trouvera de cinq pieds sept pouces deux lignes 2/5 ce qui fait pour le diametre des cônes, à la moitié de leur hauteur, II pieds deux pouces quatre lignes 4/5