.ODk3.MTM5OTc5 : Différence entre versions

De Transcription | Bibliothèque patrimoniale numérique Mines ParisTech
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Version actuelle en date du 12 mai 2024 à 17:32

249 horisontales solidement assujeties à la charpente du puits qui laissent entre elles un interval dans lequel passe le tirant, auquel on attache une petite planche bien mise de chaque côté, afin qu'il ne s'ûse pas par le frottement ; pour empêcher le tirant de s'écraser lorsqu'il vient à tomber, on y cloüe des echantignoles qui, quand il est à son point le plus bas dans sa descente, est très prés des solives ou [moise?] cy dessus s'il vient à casser il est arrêté par les échantignoles. On se sert aussi pour le même objet de chaines qu'on fixe d'un bout au tirant et de l'autre à des pièces de bois, ce qu'on repete de distance en distance, les solives entre lesquelles les tirants on leur jeu les maintiennent dans leur direction de laquelle ils ne peuvent pas s'écarter. Il est bon de faire observer qu'au lieu de tiger le fer pour lever les pistons des pompes aspirantes, on peut en employer de bois de brin, même des percher bien droites pour les hautes pompes, on assemble plusieurs de ces perches les mes au bout des autres avec des liens de fer, les tigers ont à leur partie inferieure une piece de fer qui traverse le piston qu'on y retient par un écrou, une tige en bois quoique plus grosse qu'une de fer, pere moins et quand elle serait du même poids, étant spécifiquement plus legere que l'eau de la pompe dans laquelle elle est plongée, elle tend à soulager la puissance, tandis que la tige de fer augmente la resistance en raison de son éxcés de gravité sur celui de l'eau ; ou