.ODk3.MTM5OTcx : Différence entre versions

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241 la levée des pistons quand le tirant horisontal D qui est passé à la manivelle de la roüe, est entrainé de droite a gauche &a ce tirant est ici soutenu par sept [illisible] E, ayant leur centre de mouvement sur leurs touilloux posés dans des crapaudines qui elles même le sont sur la charpente fixe qu'on voit en F. à la partie inferieure des balancier E est aussi un espece de tirant G parallele au premier, mais qui ne lui sert que de contre poids l'un et l'autre sont boulonnés aux balanciers de maniere à en permettre le [feu?]. il est des balanciers qui au lieu d'avoir leurs movuement au milieu de leur longueur, l'ont à leur éxtremité inferieure ainsi qu'on le voit en H de la plache premiere, ils sont quelque fois utiles sur tout dans les galleries dont la hauteur n'et pas après grande pour y en place de neuf à dix pieds de longueur, mais quand la roüe est à une grande distance du puits on doit préférer les balanciers doubles comme ceux E planche 7 figure 2 car comme je l'ai deja dit leurs parties superieure fait équilibre avec la superiere et [illisible] toujours à leur faire prendre une position verticale tandis que les balanciers simples étant inclinés du côté du puits, la roüe employé une partie de son energie à les redresser dans le moment même qu'elle est chargée de la colonne d'eau qu'elle a soulever. Or s'il y a une grande longueur de tirants, comme quelques centaines de toises