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THÉORIE GÉOMÉTRIQUE 242 points par lesquels je fais passer une courbe fermée dont les abscisses représentent les avancements du piston , et les ordonnées les distances du tiroir à la
position prise pour point de départ. Cette courbe est tangente en I à la ligne AC. Elle est tangente au côté BD du rectangle en un point I' dont l'ordonnée est égale à 26 1/2 (7). Elle touche les deux côtéshorizontaux CD et AB en des points dont les abscisses sont respectivement proportionnelles om,157 (4) et o°1,271 (9).
Je sais d'ailleurs qu'il l'origine de la course da piston, pour une abscisse o, la lumière est déjà découverte de om,005. Donc l'admission a commencé lorsque l'avancement du tiroir était égal à 5. Si donc je porte une distance égale à o'n,005 à partir du point I, en dessous de la ligne IK, le point (a) sera l'extrémité de l'ordonnée qui cor-
respond au point où l'admission de la vapeur commence. Menant l'horizontale (a) (a') jusqu'à la rencontre de la courbe, le point (a') indique ssur la courbe le moment de l'admission de la vapeur, et l'abscisse (a) (a') est proportionnelle à la distance qui reste à parcourir au piston, pour atteindre l'extrémité de sa course rétrograde, au moment où la vapeur entre déjà dans le cylindre et agit comme résistance à l'avancement du piston. (of) (a') est la mesure de l'avance à l'admission de la vapeur. Il résulte d'ailleurs des dimensions cotées dans la fie. 5, que l'arête p de la cavité du tiroir a dépassé de 144 + 45 1/2 (3o +86+ 30+ 4o-5) =8 mill. 1/2 le bord q de la lumière postérieure, et qu'en conséquence l'échappement de la vapeur a commencé de l'autre côté du piston, lorsque l'ordonnée de la ,position du tiroir était égale à
243 1/2. Portant donc, à partir du point 1, une lonDU SYSTÈME DE M. M-EYER.
gueur I (E) égale à 8 rnill. 1/2 sur la verticalelA ,
et menant ensuite l'abscisse (E) (E') , le point (E')
marque sur la courbe le point où l'échappement de la vapeur a commencé, et la longueur de l'abscisse (6)(E!) est
proportionnelle au chemin qui res-
tait encore 'a parcourir au piston pour achever sa course rétrograde, lorsque l'échappement a commencé. C'est la mesure de l'avance à l'échappement.
Lorsque l'arête p fig. 5, vient rencontrer le
bord q de la lumière A' dans la marche du tiroir en sens inverse de la flèche zv, la communication de la lumière A' avec le tuyau d'échappement est interceptée, et le piston, qui est alors vers la fin de sa course directe, comprime la vapeur restant dans le cylindre, entre lui et le fond de ce cylindre. Ainsi en prolongeant l'abscisse (s) (el fig. 9 jusqu'au côté BD du rectangle, elle rencontre de nouveau la courbe en un point qui Marquera la position où le tuyau d'échappement est fermé pendant la course directe du piston. Enfin ,fig. 5, l'arête r du rebord du tiroir a dé-
passé le bord s de la lumière A' de i44± 45 1/2
4-45 1/2 (40+ 3o + 86+ 3o + 4° 5)
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mill. Or, au moment où l'arête r est arrivée au bord s de la lumière A', la vapeur a cessé d'être admise clans le cylindre par cette lumière. Si donc je porte sur TA, fig. 9, en dessous du point I,
I (e) égale à 14 millim., et si je mène l'abscisse (G) (G'), le point (G') marquera sur la courbe le point où la vapeur est supprimée, et la longueur (G) (G') sera proportionnelle à la distance qui reste à parcourir au piston pour achever sa course rétro-
grade, au moment où le tiroir intercepte la corn-