Annales des Mines (1837, série 3, volume 12) [Image 299]

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TRAITEMENT tiREcT br FER, ETC.

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En «hrninant attentivement le mouvement des prix du fer dans le tableau ci-dessus, on remarquera, que rarement ce prix se relève quand il a été forcément abaissé par là mise en activité d'un êtabliesement voisin. A.insi donc la concurrence nous gte fatale toute fois qu'elle s'est formulée

NOTICE Sur un gisement de minerai de fer situé près Nanteuil (Deux-Sèvres);

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près ,cfe.nOuS.. Un tel réSUltat atteste notre faiblesse en fabiicatiOn. C'est d'ailleurs ce qui apparaît

'ffneTreianikre évidehte clans la crise que nous 'subis4nns; car il ne Lut pas nous le dissimuler, une des principales Causes de notre situation actueile , c'est notre infériorité dans les moyens de économique, et partant l'impossibilité de.supporter facilement la baisse qui a frappé les fers Ir> toutes les usines.

Par M. DE MONTMAR1N, ingénieur des mines.

Le but de cette notice est d'indiquer le gise- objet de cette

ment d'un minerai de fer sur lequel des re,

cherches ont eu lieu en 18:36 , conformément au voeu du conseil général des Deux-Sèvres. Diverses explorations ont permis de compléter les données fournies par les fouilles exécutées. En quittant la route de Saint-Maixent à Poi, Atlieureinent tiers, au nord de Nanteuil, et suivant un chemin du mi. qui se dirige vers lés villages de Couché et Fontperon , on marche d'abord sur une formation de silex et argiles qui occupe le plateau. Près de la métairie de Lairaudière on commence à observer des blocs d'un grès dur silicéo ferrugineux, d'aspect métalloïde : des fragmens de cette roche sont parsemés dans plusieurs champs. Au delà de Lairaudière , en descendant vers le lit d'un affluent de la Sèvre (dit ruissean du Puits-d'Enfer), on voit bientôt un grès feldspathique à .noyaux quartzeux , il repose en couches horizontales sur le gneiss qui occupe le fond du vallon et s'élève à une assez grande hauteur. Telles sont les circonstances principales de Recherches l'affleurement : plusieurs tranchées à ciel ouvert e.é"téesont montré que les blocs ferrugineux, sans être maintenant reliés entre eux d'une manière con-

tinue, devaient appartenir à une couche de