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jaune clair, d'un jaune grisâtre, ou tout-à-fait gris. L'acide rnuriatique
Silice Alumine.
l'attaque facilement en
Peroxide de fer. Eau
faisant gelée. Il est composé de Silice Alumine Chaux. Magnésie
Protoxide de fer. Soude. Potasse
0,318 0,430 0,012 0,210
0,970
L'acide borique est compris dans la perte de
0,4396 oxig. 0,2183 0,1120 0,0533 0,3196 0,0897 0,0610 0,0236 0,0232 o,0053 0,0428 0,0189 0,0038 0,0006
o,o3o.
Ce minéral doit être considéré comme un silicate d'alumine (AS) mêlé d'hydrate d'alumine, d'hydrate de fer et d'acide borique.
1,0020
Sa composition peut par conséquent être
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DE SUBSTANCES MINÉRALES.
ANALYSES
Analyse du TALKSTEINMACK DE ROCHLITZ ; par
repré-
sentée par la formule NSi3+5 ASi+12 Mg Si.
14. Analyse de la TERRE BOLAIRE d'OraTvitz, dans le Banne; par M. Kersten. (J. de Schweiger Seidel, 1832.) M. Breithaupt a donné le nom d'ockran à ce minéral. Il est en masses amorphes fendillées, jaunes, d'un éclat vitreux un peu gras ; il happe fortement à la langue; il décrépite dans l'eau. Sa pesanteur spécifique est de 2,483. Au chalumeau il décrépite, laisse dégager de l'eau pure
et colore la flamme en vert serin, comme le ferait de l'acide borique pur. En le faisant digérer avec de l'alcool, ce réactif dissout fectivement de l'acide borique, et acquiert efla faculté de brûler avec une flamme verte. L'acide rnuriatique l'attaque aisément pare de la silice sémi-gélatineuse. Uneet en séanalyse faite sur une quantité trop petite pour qu'il ait été possible de doser l'acide borique, a donné :
M. Kersten. (Journ. de Schweiger Seidel, 832.)
Le talksteinmack se trouve en petits rognons dans le porphyre de Rochlitz. Il est d'un blanc légèrement jaunâtre ou rougeâtre, luisant, peu dur, il se casse en petites écailles. Sa pesanteur spécifique est de 2,48 à 2,50. Il n'est qu'imparfaitement attaquable par les acides. L'analyse par la potasse a donné : Silice A
Magnésie. . Oxide de manganèse Oxide de fer
0,376o o,6o5o 0,0082 0,0°63
0,9955
trace
Sa formule est donc Tl'
.flnalyse de la COLLYRITE DE WEISSENFELD; par
M. Kersten. (Journ. de Schweiger Seidel, 1832.)
Cette variété de collyrite est d'un blanc de neige et opaque, mais elle devient transparente dans l'eau. Elle happe fortement à la langue. Sa