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EXTRAITS.
cinabre, il a la même composition et
il est
inattaquable par l'acide nitrique. On peut .facilement préparer l'éthiops par voie humide. Pour cela, il faut se procurer du sulfure de potasse sulfuré en fondant ensemble parties égales de carbonate de potasse et de soufre, et verser ensuite dans la liqueur une dissolution de sublimé corrosif en quantité suffisante pour décomposer tout le sulfure. Il se forme d'abord un dépôt blanc de chlorosulfure , mais bientôt ce dépôt noircit et se convertit en totalité en sulfure mélangé de soufre.
Sur les
PHOSPHATES
DE
MERCURE;
par
M. Tromsdorff. ( Journ. von Tromsdorff, t.
p. 268.) Le phosphate d'oxide de mercure est soluble dans l'acide phosphorique. Il est composé de ()Nide de mercure. Acide phosphorique.
o7520 0,2480
Le phosphate d'oxidule contient Oxidule de mercure, Acide phosphorique.
0,8560
0,440
Réflexions sur le procédé proposé par
M. James Smittson, pour découvrir de trèspetites quantités de SUBLIMÉ CORROSIF ou d'un SEL MERCURIEL; par M. Orfila. (J. de ch. méd.,
1829.)
Selon M. Smittson , en plongeant, dans une dissolution soupçonnée contenir du mercure, une sorte de petite pile électrique composée d'une
lame ou d'un anneau d'or que l'on- a préalablement recouvert en spirale d'une feuille,d'étain
roulée, et en ajoutant quelques gouttes d'acide hydrochlorique, on voit au bout de quelques minutes ou de plusieurs heures, selon qu'il y a plus ou moins de sublimé corrosif en dissolution, le mercure du sublimé se porter au pôle résineux sur l'or et le blanchir.
Mais j'ai remarqué, et constaté par des expé-
riences variées que s'il est vrai que la petite pile précipite le mercure, d'un. autre côté il est certain que l'or blanchit en l'absence des
composés mercuriels, à la faveur du chlorure d'étain qui se produit, et qui est décomposé par la pile comme le serait le sublimé lui-même. Pour que -l'épreuve soit complète et décisive, il est donc nécessaire de rechercher si c'est au mercure ou à l'étain que l'or doit la couleur blanche qu'il prend : or, cela est très facile. On y parvient d'une Manière certaine en traitant par l'acide muriatique la partie de la lame blanchie qui
dissout l'étain et n'attaque pas le mercure, et en plaçant ensuite par l'acide muriatique la lame bien lavée au fond d'un petit tube de verre dont on tire l'extrémité à la lampe et chauffant graduellement : s'il y a du mercure il se volatilise et il se condense dans la partie étirée du tube. 73 .Sur la constitution atomique du CYANURE DE MERCURE; par M. Johnston. ( Éd. journ. 1829, P. 119.)
En analysant le cyanure de mercure par le moyen de foxide de cuivre ou de l'oxide de mercure, j'ai trouvé que c'est un bi-cyanure composé de Mercure..
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Cyanogène..
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at. 2
-
6,5
0,7936 0,2064