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SUR LES PRODUITS METALLURGIQUES to prinparfaite, et sans aucune tache. C'est là son totale de sait que l'absence cipal mérite; car l'on les ma-
taches est un objet très-important pour il s'agit nufactures de glaces. La fabrique dont n'existe que depuis quatre ans. On y prépare l'étain en feuilles par le moyen de deux laminoirs ). Endont la longueur est de 8 pieds ( 2m,598 suite on les termine avec soin, à l'aide du marteau. 800 qx. .Cette fabrique emploie annuellement
Bronze.
mét d'étain; elle occupe vingt-cinq ouvriers.Pour sert d'étain les planches à graver la musique, on se feuilles pour allié; mais dans la ,préparation des les d'étain pur, afin d'évitor (daces on fait usage b but; c'est ce taches. On atteint complètement ce commandes, adresque prouvent de nombreuses sées parles principales manufactures de la Fran ce, et même des pays étrangers. glaces est de 4 Le prix des feuilles pour il est kiîogr.; quant aux feuilles pour gravure, fa-.de 3 fr. Ce nouvel établissement assure aux d'obbriques de miroirs et de glaces l'avantage(l'étain tenir, pour un prix modéré, des feuilles parfaitement nettes. bronze, Parmi les nombreuses fabriques deainsi que , dont l'Exposition réunit les produits nous devons nous nous l'avons déjà vu page 48 borner ici à considérer les ateliers dans lesquels fonte des cloches. on compose le bronze pour la M. Hildebrand, à Paris, expose deux grosses clocloches, un modèle de carillon placé dans un globes sonores, cher, des sonnettes de table, et des 'dans la musipropres à remplacer les cymbales du poids de que militaire : l'une des cloches estpèse t2.Dans 9 quintaux métriques, et l'autre en
DE L INDUSTR TE PR ANÇAISt.
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l'espace d'une année, ce fabricant vient de fondre trente-deux cloches du poids total de t 56q.m.,17;
la plus forte est du poids de 12 quintaux métr. et la moindre, de 1,25. Trois de ces cloches, du poids total de 25 quint. mét. , sont destinées à l'Amérique. L'alliage est ordinairement Composé, pour ioo parties en poids, de 78 de cuivre rouge et de 22 d'étain ; mais M. Hildebrand a modifié
cette composition avec succès, en y faisant entrer une certaine quantité (l'arsenic métallique, faussement nommé cobalt dans le commerce. Cette quantité, assez faible pour ne pas rendre l'alliage fragile, est assez forte pour qu'il en résulte des cloches plus sonores et des timbres de pendules, susceptibles d'un plus beau poli. Le prix des cloches varie de 51 o à 32o fr. le quintal métrique. M. Hildebrand fabrique en outre, par année, 15o grosses, c'est-à-dire, 19.400 pièces de timbres polis pour pendules; il en expédie un grand nombre dans les pays étrangers. Il a de plus perfectionné les sonnettes de table, en ce qu'au, lieu de peintures saillantes qui nuisaient à la vibration, et qui d'ailleurs étaient peu durables, il applique aux sonnettes un damassé incrusté qui n'en altère pas le son. M. Osmond-Dubois, à Paris, a exposé des cloches, des carillons, des sonnettes, grelots et timbres pour horloges; il compose et emploie annuellement 5oo quintaux métriques de métal de cloche. C'est dans ses ateliers, que l'on a fondu, en 1825, les deux bourdons de l'église Saint-Sulpice, à Paris. Il a récemment fourni un grand nombre de cloches pour diverses communes de la France. La fabrique de M. Osmond-