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CIRCULAIRES.
CIRCULAIRES.
afférents à l'exploitation proprement dite, et l'on confond, chacune des autres catégories, les salaires y afférents avec 1* dépenses de diverses natures qui rentrent dans cette catégorie. Pour rendre comparables les renseignements donnés parfe divers services, j'ai arrêté, sur l'avis du Conseil général des m» les instructions suivantes : On n'inscrira dans la catégorie de dépenses désignée sousli lettre A que les salaires d'ouvriers, faisant partie du personi de l'exploitation minière, afférents à tous travaux autresp ceux d'entretien et de premier établissement des travaux jouis rains de la mine, des puits, galeries et ouvrages d'art. Dans la catégorie désignée sous la lettre C [entretien des tram souterrains de la mine, puits, galeries et autres ouvrages d'an on comprendra dans les dépenses, en la faisant ressortir i moyen d'un sous-articlc distinct, la portion desdites dépens afférente aux salaires des ouvriers faisant partie du personm de l'exploitation minière. On opérera de même pour la catégorie désignée sous la lettre! (premier établissement des puits, galeries et ouvrages d'art). Je vous prie de veiller a l'exécution de ces instructions eté m'accuser réception de la présente, dont j'adresse une ampliafe aux ingénieurs placés sous vos ordres. Recevez, etc. Le Ministre des travaux publia, ED.
INVENTIONS.
MILLAUD.
— BLOK-S YSTEM-FLAMACH E.
A MM. les administrateurs de la compagnie d de fer d .
chemin
Paris, le 29 mai 1887.
Messieurs, en 1883, la Société anonyme belge « pour la » struction d'appareils de sécurité pour voies ferrées » asouiéi l'administration française un appareil de cantonnement pos ligne à double voie, inventé par M. Flamache, ingénieur a| chemins de fer de l'État belge. A cette époque, le Comité de l'exploitation technique des* mins de fer, appelé à examiner cet appareil, a, tout en recul naissant ce qu'il y avait d'ingénieux dans ses dispositions, é* l'avis qu'à défaut d'expériences prolongées, faites en serri» courant, il n'était pas possible d'en apprécier la valeur pratiq»
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e 12 juin 1886, la même Société a transmis à l'administration, c la description d'un nouveau type de l'appareil de M. Flache, modifié en vue de son application aux lignes à voie ique, copie d'un rapport adressé à M. le Ministre des chemins B fer, postes et télégraphes de Belgique par une commission Bargée de rendre compte des résullats des expériences aux"elles cet appareil avait donné lieu sur la ligne de Denderleen otteghem,
!n cet état, j'ai soumis de nouveau l'affaire au Comité de xploitation technique des chemins de fer, et j'ai l'honneur vous envoyer, ci-joint, un extrait du rapport présenté par l'ingénieur en chef Vicaire, rapport dont le Comité a adopté É conclusions et auquel j'ai moi-même donné mon approbation. îCes conclusions sont les suivantes : « La nouvelle communication de la « Société pour la conduction des appareils de sécurité pour voies ferrées » confirme Bpinion déjà émise par le Comité au sujet de la valeur théorique B l'appareil Flamache, en montrant qu'il peut s'appliquer, Boyennant une légère modification, au service des lignes à Bie unique ; elle montre, en outre, autant qu'on peut en juger [par les renseignements du dossier, qu'il a déjà fait ses preuves, dans une certaine mesure, au point de vue pratique. En conséquence, si ladite Société trouvait l'occasion d'en faire l'essai sur une ligne française, il y aurait lieu d'autoriser et de suivre avec Htérêt cet essai. » [Je vous prie, dès lors, Messieurs, de me faire connaître, le [us tôt possible, si votre Compagnie serait disposée à procéder es essais du système Flamache qui, à ce que je crois savoir, être prochainement installé, par l'administration des chemins | fer de l'État belge, sur la ligne d'Anvers à Rotterdam. Recevez, etc. Le Ministre des travaux publics, Pour le Ministre et par autorisation :
Le Directeur des chemins de fer, 3.
LAS.
RAPPORT (extrait). L'appareil proposé résout très bien le problème de l'exploitation a voie ■ique avec block-system. On pourrait le simplifier notablement si l'on sup■mait cette dernière condition, c'est-a-dire si l'on se bornait à interdire la