Cette page est protégée. Merci de vous identifier avant de transcrire ou de vous créer préalablement un identifiant.
148
CIRCULAIRES.
HÉRISSON.
MESURES DE
149
CIRCULAIRES.
Je désire que ces renseignements, qui devront être consigné dans le cadre dont vous trouverez ci-joint un exemplaire m soient adressés dans un délai de quinze jours au plus tard. Recevez, etc. Le Ministre des travaux publics,
5° Appareils avertisseurs ou protecteurs aux passages a. niveau. liombro de passages à niveau protèges . . Kombre de passages à niveau restant a protéger 6°
Intel-communication.
DÉSIGNATION DES LIGNES
DÉSIGNATION, PAR LEUR NUMERO, DES TRAINS
sur lesquelles circulent des trains express ou directs effectuant des parcours de 25 kiloui. ou plus sans arrêt.
SÉCURITÉ.
Exécution des circulaires ministérielles des 13 septembre 1880 2 novembre 1881 et 12 janvier 1882.)
EXPRESS OU DIRECTS
circulant sur la ligne.
dans lesquels la communication existe.
RESEAU D iUILLES
des
IpRÉCAUTlONS A PRENDRE POUR
Situation au \"rcations. octobre 1882.
LE
CHAUFFAGE
DE MACHINES A
DES
PISTONS
CREUX
VAPEUR.
iUILLES
des 1° Freins continus.
- ares.
A M.
sur lesquelles circulent des trains express.
des
jlières. circulant sur la ligne.
munis du frein continu. AIC des cb.'f part
2 0 Block-System. DESIGNATION DES LIGNES
et sections de lignes pourvues de pos tes de cantonnement.
, ingénieur en chef des mines. Paris, le 14 avril 1886.
UJILLES DÉSIGNATION, PAR LEUR NUMÉRO, DES TRAINS EXPRESS
DÉSIGNATION DES LIGNES
LONGUEUR
DÉSIGNATION DES LIGNES
kilométrique.
et sections de lignes restant à munir de postes de cantonnement.
LONGUEUR kilométrique.
3° Cloches électriques. DÉSIGNATION DES LIGNES
LONGUEUR
et sections de lignos munies de cloches.
DÉSIGNATION DES LIGNES
kilométrique.
et sections de lignes restant à pourvoir de cloches.
LONGUEUR kilométrique.
4» Enclenchements.
W t-.
=
<
Nombre des aiguilles enclenchées. . Nombre des aiguilles restant à en-
a
%3
s <
tf 3) gis
§aS
a a
g 1
a H
Monsieur l'ingénieur en chef, la commission centrale des machines à vapeur m'a signalé (*) le danger que présente le chauffage des pistons creux de machines à vapeur en réparation, lorsqu'on n'a pas préalablement débouché, nettoyé et aéré leur cavité intérieure. Je citerai particulièrement les accidents suivants : I Le 8 juillet 1869, un ouvrier mortaiseur des ateliers d'Ivry (Seine) venait de pratiquer une entaille dans un piston creux; 'il en approcha une lumière et aussitôt une détonation se produisit. L'ouvrier fût brûlé au visage. En 1872, aux usines de Commentry, l'explosion d'un piston creux en fonte survint pendant le chauffage qu'on lui faisait subir pour retirer la tige. Le 13 septembre 1884, un ouvrier monteur du dépôt de la Compagnie d'Orléans, a Montluçon, faisait chauffer un piston creux de machine fixe, lorsque cet engin éclata et se brisa en plusieurs morceaux; l'ouvrier fut mortellement blessé. Enfin, le 2 novembre 1885, dans un puits des houillères de Carmaux, le piston du frein à vapeur de la machine d'extraction éclata dans des circonstances analogues, et l'un des fragments frappa mortellement le chef mécanicien qui dirigeait l'opération. D'après les faits constatés, la commission centrale estime qu'il er
(*) Voir le rapport a la partie technique, 1
vol. de 1886, p. 443.