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DES CHEMINS DE FER DE L'ÉTAT BELGE.
SERVICE DU MATÉRIEL ET DE LÀ TRACTION
la fibre considérée à la fibre neutre, distance positive du côté du boudin, et O étant l'angle de la section avec
l'horizontale du centre de la roue. D'où les résultats maximum O -= 0 : Section droite horizontale du bandage.
Traction à l'extérieur. .
.
. .
0,056 -i-MR (1 --!)= 464,37
Compression à l'intérieur .. 0,035 -1-MR (1
2
-
-2) -= 284,91
- Section droite verticale du bandage.
Traction à l'intérieur
0,035
2 MR
0,056 2
Compression à l'extérieur
MR Tc I
flèche donnée. Il se peut en effet que pour atteindre une telle flèche, la ligne des centres de gravité arrive dans certains bandages à s'infléchir vers l'intérieur aux environs du sommet, et qu'alors le métal travaille dans des conditions tout autres : d'où la nécessité de toujours rapporter les flèches aux rayons. M. Roussel détermina la pression statique nécessaire pour faire fléchir les bandages du 1/12e de leur diamètre primitif; il chercha ensuite à se rendre compte du travail moléculaire imposé au bandage, en intégrant l'aire de la courbe qui a pour abscisses les flèches et pour ordonnées les pressions, et
il trouva que pour la pression capable de produire la flèche du 1/12e, ce travail était sensiblement constant
=- 164,53
pour tous les bandages. On cherche donc, pour les essais au mouton, à imposer à ceux-ci le même travail molé-
- 26kg,fi
culaire, en les soumettant au choc d'une masse qui
C'est donc à l'extrémité du boudin et à la hauteur du centre de la roue que se produit la plus grande fatigue, déjà très forte à l'état statique.
La quantité 1
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\/ 13111'H a pour valeur 16, ce 4E1
qui porterait, si les déplacements restaient élastiques, la flèche maximum en charge au 1/8e du rayon primitif, tout en montrant que les fibres extrêmes doivent à peu près inévitablement se rompre. Il n'existait donc qu'une marge très faible entre la flèche qui vient d'être déterminée et celle qui atteindrait le 1/7e du rayon, limite extrême fixée pour la déformation après le deuxième coup de mouton. Il est à remarquer que le diamètre du bandage n'entre plus, comme cela avait lieu autrefois, dans la définition
possède une quantité fixe de force vive. Le procédé du choc a sur la pression statique l'avantage de diminuer considérablement le poids nécessaire pour produire une flèche donnée ; il est aussi très expéditif. Dans la limite des déplacements élastiques, la courbe de variation des pressions en fonction des flèches produites est rectiligne, ce dont la théorie rend parfaitement compte, puisqu'elle établit entre ces quantités la relation 2 El
ooirf. Au delà sa courbure augmente de plus en plus.
Le travail moléculaire a donc au début pour expression El 7cdf...= .-1.12, et si la flèche est pour tous les ban-
du poids à donner au mouton. M. Roussel, chef des essais
dages en rapport constant k avec le rayon, ocir Ce travail variera donc fort peu avec le rayon, et même travail
à Malines, ayant en effet soumis aux expériences
de
pas du tout si les moments d'inertie sont en raison directe
fallait
des rayons. On peut constater qu'il en est à peu près
flexion des bandages de rayons divers, trouva qu'il des pressions statiques très différentes pour produire une
ainsi pour les bandages de locomotives comparés à des