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BULLETIN DES TRAVAUX DE CHIMIE.
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LABORATOIRES DÉPARTEMENTAUX.- SAINT-ÉTIENNE.
100 à 12° Incrustations des chaudières ie vapeur de l'usine MM. Giron et Cie, fabricants de velours à Saint-Étienne près l'École des Mineurs.
La soude des trois premiers fûts est de beaucoup inférieure à celle du fût N° 402 , ce qui a fait manquer plusieurs fontes de verre.
DÉPÔT
DÉPÔT
Carbonate de chaux Sulfate de chaux Carbonate de magnésie Peroxyde de fer Alumine facilement soluble dans l'eau acidulée. Silice et argile Graisse (suif) Eau de combinaison Eau hygrométrique Totaux
en masses
ROCNe
en plaques minces contre la chaudière.
lamellaires détacha de la chaudière.
66,12 13,33 8,40 2,25 traces.
traces.
traces. 3,40 traces.
33,15 38,66 4,10 4,10 traces. 9,00 traces. 10,99 traces.
100,00
100,00
100,00
5,90
spongien gras
flottants.
masses agglomérées blanches. 0,55
PARTIE
1,10
BLANCHE
FONDUE
1,80
mal fondue
transparente
100,00
100,00
2,50
69,25 6,00
1,00
13° et 14° Echantillons de soudes pris dans les magasins de la verrerie Vve Crine et Bertholon , au Mont, près Saint-Étienne. CARBONATE DE SOUDE
et 403.
du nu N. 402.
83,60 1,40
91,54 0,46
15,00
2,00
100,00
100,00
Carbonate de soude, avec un peu de sulfate
de soude et de chlorure de sodium. . Chaux avec traces d'oxyde de fer Perte au feu : eau et acide carbonique du carbonate de chaux et des bicarbonates Totaux
et du sable de Fontainebleau.- La fonte du verre , ayant été incomplète, a donné du verre transparent et çà et là des
11,20
Une grande partie de l'eau employée pour les chaudières est de l'eau de condensation de la machine motrice de l'usine.
des fûts N. 395 , 401
15° et 16° Verre obtenu avec la soude des fûts Nos 395, 401 et 403
PARTIE
Silice
Soude (Na0) Chaux Alumine et faibles traces d'oxyde de fer Magnésie
Totaux
170 Boues de la Grande-Rue du Coteau (Roanne, Loire).-Cette rue est suivie dans toute sa longueur (1 kilomètre) par les voitures qui font le transport des pyrites de Sainbel , de la gare du Coteau
au port du canal latéral à la Loire ; le tonnage transporté quotidiennement a varié de 200 à 300 tonnes, ce qui a exigé 135 à 200 voyages d'une charrette ; le nombre total des voitures d'autre nature est de 600 par jour. Les habitants se sont plaints à plu-. sieurs reprises des propriétés malfaisantes de la boue et surtout de la poussière, notamment après des variations de pluie et de soleil.
D'après M. Baroulier (essai de juin 1878) , 100 grammes de boue sèche, traitée par l'eau tiède, ont donné une liqueur franchement acide, contenant 1 gramme de sulfate de protoxyde et sesquioxyde de fer et Ogr.,65 d'acide sulfurique libre , en total Tome U, 1882.
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