Annales des Mines (1879, série 7, volume 16) [Image 64]

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ET DE LA CONSTRUCTION DES MACHINES A *VAPEUR.

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lement incessant, mais comme simple transmission de mouvement,

semblable à une courroie sans fin, ne pouvant pas tirer, mais pousser, d'une longueur indéfinie et susceptible de passer partout.

Il suffit pour cela, en principe, d'imaginer que deux cylindres identiques l'un à l'autre soient mis en communication sur les deux

faces du piston par deux conduits d'aller et retour. L'eau étant incompressible, le second piston devra exécuter rigoureusement le même mouvement que le premier. Quelques accessoires tels que soupapes de sûreté pour l'eau et pour l'air, réalimenteur pour réparer les pertes, etc., complètent dans la pratique ce programme succinct.

Un exemple très-remarquable de ce dispositif a été installé à Sulzbach-Altenwald (1). On en trouve d'autres (2) à Kladno pour un

épuisement en vallée, et à la mine Phénix du Cornwall. M. Mouchet, ancien élève de l'école de Saint-Étienne, s'occupe également d'installer un renvoi hydraulique du jour au fond dans les mines d'Ikouno, qu'il exploite pour le gouvernement japonais.

Des essais ont été faits dans le même sens en substituant l'air élastique à l'eau incompressible. On sait que M. Marey en a tiré le plus utile parti pour les appareils enregistreurs de ses recherches physiologiques. Mais jusqu'ici il ne semble pas qu'aucune réalisation ait eu lieu d'une manière industrielle pour la transmission du

travail en activité (et non pas du travail potentiel) d'un moteur à un autre. M. Deprez a montré qu'en négligeant les frottements on peut arriver, en maintenant un angle convenable d'avance constante entre les deux manivelles, à des rotations synchrones, avec un rendement égal à l'unité, c'est-à-dire indépendant des échanges de chaleur. Il y a perte en effet, même, en dehors de la question des frottements, si, comprimant de l'air dans un réservoir, ce qui l'échauffe nécessairement, on le laisse se refroidir pour transporter ensuite ce récipient à. distance et permettre alors à l'air de se détendre avec un nouveau refroidissement. Mais avec une conduite libre réunissant les deux machines, il n'y a pas condensation ou dilatation sur un point plutôt que sur un autre, et les échauffements ou refroidissements s'interfèrent complètement. Il est impossible de ne pas mentionner dans cet ordre d'idées le système si remarquable de transmissions de la force à distance au (i) Compte rendu mensuel, décembre 1876, page t, et janvier t877, page 29. Zeitschrift fiir das Berg, Hütten und Salinenuresen, tomes XXII, page t et XXIII, page Go.

(2) Revue universelle des mines et des usines, tomes XXIII-XXIV, p. 3o3,