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RAPPORT SUR UN ndmorns RELATIE
et du Mein , près Francfort(), offrent des amas très-considérables de petits fossiles qu'on :çegarde comme des cyclostomes aquatiques ondes paludines : une espèce voisine de ces dernières a été trouvée à Saint-Paulet ( Gard). Plusieurs fossiles d'eau douce ont été décrits
comme venant du Bastberg (2), et d'autres, comme provenant des environs de Buxweiller (département du Bas-Rhin ) , d'autres enfin comme ayant été fournis par Vile Shepey, , à - l'embouchure de la Tamise (3). Le Journal des Mines du mois de juillet 1812 (4) , fait mention de pareils dépôts dans les départemens du Cher, de l'Allier et de la Nièvre. M. °malins d'H:11°y les a retrouvés. dans le premier de ces départemens , 'sur la route de Bourges à Saint-Amand, entre Levet et Bruère ; dans le second, non-seulement aux environs de Gannat, mais aussi près Chantelle, au port Barraud , près du Veurdre , entre Bour: bon-PArchambaud et Saint-Pierre-le-Moustier, et encore entre Jaligny et la Palisse ; enfin, dans le troisième, sur les bords mêmes de la Loire, à Thiaux et à Béard. Long-tems avant les recherches de M. Orna-.
lins d'Halloy, , M. Passinge (5) avait donné connaissance de la formation d'eau douce. 1°. Dans le département de la Haute-Loire, à (i) Faujas. Mém. sur !es Coquilles fossiles de Mayence, A7271. du Mus. , tom. VIII pag 379. Lettre de M. Hammer à M. Cuvier, Ann. du Mus, d'Hist. nat. , tom. VI , page 356. Brard, Journ. dePhys. , tom. LXXIV, p. 248 et a5o. Tom. XXXII, png, 42-65. Journ. des Mines, tom. VI., pag,
A L'HISTOIRE DES TERRAINS D'EAU DOUCE..
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Expaly, , au Puy et à Retournad ; et 2°. dans celui de la Loire , à Sury-le-CoMtat utile Comtal,
et au Nord de Roanne. Dans un voyage très ,récemment entrepris par le même M. °malins, ce naturaliste a rencontré le calcaire d'eau douce dans le royaume de Wurtemberg , aux environs d'Ulm an commencement des vastes plaines du Danube (i), et en France , _dans le département de Home, à Cisterne , près l'entrée des Marais- Pontins ainsi qu'à Ponte-Lucano , au pied des montagnes de Tivoli (2) , et dans celui de, l'Ombrone à Colle, non loin des bords de l'Elsa. Enfin nous sommes redevables à M. d'Audebard de Ferrussac , de la découverte des fossiles d'eau douce _; en Silésie ; en Espagne, 1°. entre Logrogno. et B u.rgos, villes de la Castille vieille; et 2°. sur les confins de l'Estramadure espagno le, ainsi que dans les ci-devant provinces deFrance, du Quercy et de l'Agenois. Lorsque les Mémoires doMM. Brongniart et Cuvier (3) furent publiés, on s'occupa, de la dé, termination des espèces de fossiles d'eau douce, et M111. Brard , d'abord (4) , et Daudebard de Ferrnssac,quelques.années après (5), donnèrent Noue. Bull. de la Soc. phi l de_Parls , no, 64, t. III, 6!, année, p. 2O7 , et Journ. des M ines , if. i 92, t. XXXII. Celui-ci est le travertin des architectes Essai sur la Géogr. min. des environs d, Paris. Ann. du Mus., tom. XI, p. 293, et Mém. sur les Terrains d'eau 22 et 23, douce ,ib. t, XV, p. 357
A7272. du Mus., t.pl. XIV p, 426 , pl. 27, et t. XV, pag. 406, et Joran. de Phys. t. L-X.XII , juin 1.8.11 , et t. LXXIV, avril 1812. Annal. du Mus. 1812.