Journal des Mines (1794-95, volume 2) [Image 240]

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2. )

grains: de galène Trreléi-, d'ocre , -souvent un mé-

( 23 1

  • XpIoitée depuis la profondeur de 19 toises jus=

et quelquefois une

qu'a celle de .5o.. C'est pur le haut que cette exploise continue de la tation a été oommencée , me'me manière eui.deScendant toujours. suacessive-

Puissant et largé parfois près du jour, et ce

vient.et par:degrés. L'étendue .de cette exploitation ancienne ( au. dessous de Januelle se fait l'exploitation actuelle )

lange de galène et de pyrites

,

masse uniforme de pyrites ferrugineuses sans aucune 4race:de galène.

rétrécissant dans les parties inférieures; parfois, au contraire , étroit dans le haut et s'élargissant audessous , et en général diminùant de richesse dans la profondeur.

On rapparie que (dans Id tdre du Mayeur) endeçà -de Veen, sur *une longueur rnarquée s t sur

le plan , le 'filon n'existait pas dans la hauteur, ou du ,moins était. rempli de rocs tendres , pourris et pauvres, et qu'à 42 toiSeS de profondeur il s'était trouvé très-productif. Ce filon est .,connu depuis Saint-Marc jusqu'audelà de la Mottzée , sur une longueur d'une demilieue:A i0,toises de la Mouzée , dans une petite fosse marquée c sur le plan, on n'a trouvé que des pyrites ferrugineuses etpeu de galène; et 200 toises a u,delà,est une couche de mine de fer en roche, diri-

gée de l'est-à rouet., et inclinant au sud. La coupe de cette couche est,représentée par y y ; elle coupe ainsi -lia direction du filon de plomb qui se termine avant d'arriver à cette couche. Énfin le filon de Vedrin , entre Saint-Mar, et le yina.,Ye de V edrin , est -accompagné , à la distance de quelques toises à 'l'ouest, d'un second filon ou train qui a été exploité' et qui a produit beaucoup. Il est représenté sous les lettres m ; m ,in , dans le plan. t 0,0

Travaux anciens. Parties exploitées.

Toute la crête du filon est en grande partie

.

.

est d'une de.mi,lieuedelang ueur, depuis Sa int-M a r.üjusqu'à. 4 .1V;Iouzée.

Un grand noMbre, de petites fosses a été ouvert sur cette longueur ; plusieurs subsistent encore elles sont circulaires, de 30 pouces de diamètre, et cuvelées en cerceaux de bois. L'usage ancien que l'on a conservé , est de pla'cer deux de ces fosses à I 2 pieds de distance ; se servent mutuellement de fosses d'airage et sont au§Si fosses d'extraction.

il.° Aqueducs , machines.

Dès l'origine de l'exploitation de cette mine en 163o on avait reconnu l'avantage qui résulterait d'une galerie d'écoulement qui assécherait la mine et on avait pratiqué un aqueduc à 25 toises de profondeur, long de 300 toises environ, et qui venait

déboucher au niveau du ruisseau, près de la fonderie de Frisée. L'exploitation ayant été approfondie par la suite, cet aqueduc est devenu insuffisant et. en 1741 on entreprit d-en ouvrir un à 50 tbises de profondeur. Ce notivel aqueduc auquel deux ouvriers ont travaillé sans discontinuité , depuis 54 ans ) commence à Saint-Servain , où if verse les eaux dans le ruisseau

près du moulin de Grosse-Pierre, à 7`,- d'heure de -Nantit r, se dirige sur Saint- Marc,Iista n t de -,-d'heure

OÙ il coupe le filon, et d'où il continue , par Vedriti B