Annales des Mines (1860, série 5, volume 17) [Image 149]

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A FORCE CENTRIFUGE.

NOUVEAU VENTILATEUR

2G2

teur du rapport deux nouveaux termes De la sorte

Ti "r

aura la forme . Ro') . sin'

TF

w2

_1/v'+

IL). 2w.

(4,

42 z2 r

Ro x cos (

(1 H-

y' et z'.

R, x (w. R, u1. cosy)

Appliquons cette expression aux appareils les plus simples, à ceux dont les ailes sont des surfaces planes qui prolongées contiendraient l'axe de rotation. Alors les angles 4, et y mesureront 900 et remplaçant cos 'et sin s par leurs valeurs en fonction de y et de .Ro, on aura

(I+

T=

Vo)2 p.) .

-f2-f 21.

2ce

Si le numérateur pouvait se réduire au premier ternie et si l'on pouvait regarder la quantité p. comme nulle,

ce rapport n'excéderait pas o,5. Mais, en réalité, sa valeur maxima sera très-inférieure à ce chiffre. Cherchons en effet seulement à évaluer quelle est l'influence

du premier terme négatif

ti)2.1[102. Il faut remarquer

d'abord qu'il ne convient pas de rendre Ro trop petit; car, en restreignant le diamètre des bouches d'aspiration, on augmenterait la vitesse avec laquelle l'air arrive aux ailes et par suite les quantités nuisibles y', (yno)2. La valeur moyenne de Ro que l'expérience a fait adopter

traux, de sorte que l'application des formules donnerait une proportion d'effet utile plus élevée que pour le type précédent. Comme cependant l'inclinaison des palettes est généralement faible et qu'aucune précaution n'est prise pour réduire la contraction de l'air à l'entrée, ces appareils , même au point de vue théorique, se rapprochent beaucoup plus des ventilateurs à ailes planes

et diamétrales que de celui que j'ai décrit. En outre, les déviations des filets fluides et les remous par lesquels ces filets tendent à revenir vers les espaces où la pression est moindre doivent s'exercer plus librement, à cause du nombre insuffisant des ailes et du jeu souvent assez grand laissé entre les organes mobiles et les enveloppes. Ces considérations confirment ce qui a été dit au commencement du médiocre rendement des ventilateurs ordinaires.

Lorsqu'on voudra employer comme machine soufflante l'appareil représenté dans les figures 4 et 5 (1), on substituera à la caisse en bois une simple enveloppe cylindrique en tôle , adaptée hermétiquement aux parois externes des pavillons , qui renfermera la double

, et, si l'on admet que telle

soit exactement la relation qui existe entre les gran-

assez de largeur pour que l'air foulé par les aubes puisse

deurs des rayons intérieur et extérieur, le rapport théo-

rique sera nécessairement moindre que la fraction

2

9

Dans beaucoup de ventilateurs d'ateliers, les ailes, tantôt courbes, tantôt planes, ont une portion ou la totalité de leur surface inclinée sur les plans diamé-

couronne mobile et débouchera dans la conduite de l'atelier. Cette enveloppe ne présentera aucune disposition très-particulière. Il importera qu'elle n'emboîte pas la roue d'une manière étroite , niais qu'elle offre

ne serait pas éloignée de

I

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0,375.

(i) Cet appareil doit prochainement être installé à ClermontFerrand, dans les ateliers de MM. Barbier et Daubrée, et l'on s'en est servi provisoirement et avec un avantage marqué pour donner le vent à un cubilot, en mettant la caisse en communi-

cation avec une conduite générale.

Des enveloppes qu'il convient

d'adapter au nouveau ventilateur.