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DESCRIPTION DES MINES
plus de 5o mètres. ,en direction, et dans laquelle apaisseur rédiiitg'de la à.e,è,-,délies'è'.brin,t):..-14e plomb, provenant de l'essai Ide pluseffrs 'Midler( Ions, a rendu de 400 à 45o gramnies d'arged.tql, constaté, par un puits foncé dans le filon, ruinerai se continue bien en profondeur. La partie' supérieure au troisième niveau a été exploitée. Cette exploration vers le Sud rencontrera bientôt, les travaux faits au même niveau par le puits Saint:
Marc. Ces travaux ont reconnu le filon du pin& déjà sur plus de 5o mètres en direction , principalement vers le Sud. Le minerai présente au-, près du puits Saint-Marc une épaisseur remarquable, mais ne forme, au Nord et au Sud, que des veinules peu puissantes. Cependant, en plusieurs points, l'épaisseur réduite de la galène a dépassé o',15. Sur toutel'étendue de cette colonne métallifère, la richesse de la galène en argent est assez. grande : un grand nombre d'échantillons, essayés au laboratoire, ont donné du plomb tenant plus de 5oo grammes d'argent aux oo kilogrammes.
Dans le filon n° 2, au troisième niveau, on a reconnu le minerai, riche en argent et très-abondant, dans la colonne comprise entre les deux croiseurs. La galène se présente sur plus de 2 111è7
treset son épaisseur réduite est supérieure à o',56 sur presque toute l'étendue de la colonne. Ce minerai esx cristallin , et le filon présente de nombreuses géodes, dans lesquelles la galène, accom-
pagnée de quartz, est en cristaux octaèdres ou
dodécaèdres, offrant la plus grande analogie avec le minerai du Saint-Georges de Roure. Au Nord
et au Sud, les croisements sont bien distincts; mais n'ont pas encore été suffisamment explorés:
ni3
%
'USINES DE PONTGIEAIJD.
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)1,e_ traverse, bientôt terminée, longue d'en-
rron 40 mètres, établira une communication entre cette colonne du filon no 2 et la région Saint-
Marc du filon du puits. Dans le filon if 2, on continue l'exploitation du minerai au-dessus du
troisième niveau. La pyrite de fer n'est plus mélangée avec la galène en aussi forte proportion que dans les parties supérieures du filon n° 2; mais elle forme deux veines latérales assez puissantes : celle du mur paraît s'écarter de plus en plus du filon; mais la veine du toit le rencontrera probablement à une certaine profondeur. Ces deux veines de pyrite, l'aspect du minerai, la direction sur l'heure 3 , établissent une analogie frappante entre le filon n° 2 et le Saint-Georges de loure : la seule différence qu'on puisse citer est la variation dans la richesse en argent qu'a présentée le Saint-Georges, tandis. que le filon n° 2 a con- stamment donné du minerai très-riche. Bientôt les deux mines seront réunies par des galeries , et
la question de l'identité ou du parallélisme des deux filons sera décidée.
Nous ferons remarquer ici que maintenant la mine de Rosier fournit la plus grande partie du minerai fondu à
- la mine de loure avait
suffi presque seule aux besoins de l'usine pendant plusieurs années; et enfin , dans le principe, tout
le Minerai fondu provenait des mines de Pranal. Nous insistons sur ce point, parce que, dans tous') les districts métallifères, comme à Pontgibaud, faut avoir toujours plusieurs mines en exploitation pour suffire à l'entretien d'une usine en coustaute
àèfivité. Le minerai est aénéralementiton fi 8 bS.i,
irrégulièrement dans les filons 'Métallifèr'es pour