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De Transcription | Bibliothèque patrimoniale numérique Mines ParisTech
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188 les chevaux au lieu d'éprouver de la résistance feront poussés en avant par le bras de levier auxquels ils sont appliqués, il faudrait qu'alors les chevaux allassent à rembours pour retenir l'éffort qu'exerce le poids du cable qui va toujours en croissant jusqu'au moment ou la tome est parvenue au fond du puits. C'est pour éviter ce grand inconvénient que l'on fait usage du traineau ou du frein, le premier qu'est chargé de pierres s'attache à l'autre bras de levier, sont frottement sur l'aire de manage retient la marchine et l'empêche d'estropier les chevaux. Le frein vaut beaucoup mieux parce qu'on est maître de le serrer à volonté, il consiste en deux longeurs pièces de bois [tangouter?] à une roüe fixée à l'arbre verticale de la machine à molettes afin de mieux faire comprendre ce frein ou consultera la figure 5 de la planche 6, quoiqu'il soit beaucoup plus tutile pour les Baritals à tambour que pour celui à coûer, je conseille cependant d'en faire usage pour de dernier, il y servira quand on descendra de grands fardeaux dans la mine, car quoique les Coûer compensent le poids du cable, il n'en peut êtree ainsi de celui des pièces de bois, des hommes &a que l'on descend. Voici l'explication de ce frein. -1 figure 5 est une croisée ou Roüet entouré de jantes fixé à l'arbre


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