Cours d'exploitation des mines, [professé à l'Ecole royale des mines en l'Hôtel des Monnaies de Paris durant les années 1780]. [Page XLV]

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XLV qu'une seule et même. J'ai remarqué, ainsi que beaucoup de naturalistes avant moi, que souvent les bancs de rochers de deux montagnes separées par une vallée, étaient correspondant les uns aux autres et de la même nature. un filon qui de toute antiquité aurait eû sa direction transversalement à cette vallée, ne peut pas s'etre preté à en suivre les contours ni encore moins à [se ?] autour des croupes de ces montagnes il est donc probable que non seulement il traverse la vallée aux [illisible] terrein qui a eté emporté, mais quil passe dans les deux montagnes adjacentes, que la partie du filon emportée d'entre elles, a formé dans le lieu le plus bas de la vallée ce que les Allemands appel [eiffenwerch?] ou minéraux d'alluvion. Voila ce que j'ai cru devoir objecter contre la Théorie de M. Trébra relativement aux filons ; l'ouvrage de ce savent est d'ailleurs très précieux, j'aurai même occasion de le citer dans celui ci. Les Allemands ont des mines qui sont consacrés à chacune des opérations de leurs travaux de mines ne pouvant rendre en [francais?] tous leurs termes technique