Compte rendu des travaux des ingénieurs des mines (1842) [Image 70]

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( (58] «La forge et le fourneau de la Chouette sont au fluage de Bremur Vauroi. et «Appartient n proprement dite, et il est probable que le Plus tard il n‘est fait mention que de la forge moins cette usine était était dont ie de fourneau roulement Nod, plus économique, parce que des mines, alimentait de fonte les afiineries de la Chouette. éloignée Un arrêt, 1678. en date du 1“ août 1678, autorise la maintenue en activité de la forge de la Chouette. lit dans le dénombrement fait On 1767. Bremur en de la 1767, de Roche -Prise seigneurie sous : aussi une autre usine qui , est 59 une l fonderie de fer, au bout de la forge (1). 11 cette avant 1 construit du haut-fourneau mention 68;; Ce dernier dénombrement ne fait pas comme Chamesson dés le itvme siècle, été avait donc aliénée, et, possédait, de l'usine portion aujourd‘hui deux usines bien distinctes. , . fort ancienne; d’une est origine d’Ampilly Ampilz’y.— accorde autorisation au seigneur de Sommièwes de reconstruire feux d’affinerie tombant en ruines depuis douze ans. En 1658 trois forgerons résident dans la forge du seigneur (a). déclare : de Sommièvres veuve En 16611, madame L’usine car un un titre du 8 août hautsfourneau 1 et 57?, 1577. deux 1658. , les il ne reste où la une Chouette, de Canlin ruinée, que «Donné par Mu“ Caudron forge appelée aussi“ situé de l’autre côté, bâtiment des ouvriers nom. Le de ce son fondations, sur étang appelé ruiné. 1) «Qu’il'lui appartient Ainsi , depuis et le fourneau de Nod; forge ruine de la 1790. En 790 de l‘année et 1 , siècle, il y avait une liaison intime deux usines roulaient et chômaient la fin du itvnE était la l'orge emploie ces très-probablement de la Chouette se une entre aux la de la Chouette forge mêmes époques, ct la suite de celle du fourneau. elle roule d’un seul feu; compase pendant neuf mois , La charbon de bois forge le produit annuel au est 1634. à‘peu prés de la {in du remontrent du habitants les 1634, village avr: siècle ou des la construction feux de les recherches forges aux commissaires institués pour qu’avant actuelle- sont des feux moitié la le dans tout qui y il n’y avait à Chamesson et voisinage que du commencement du XVIIe; car, en ment. En 1658 1658. le “582. charretier (2]. En 1682 , Nicolas résidant Brulard, Premier président au consistant ans. forges, parlement de Dijon, deux affineries, déclare qu‘il chaufferie lui ap— pluw a qu’il et forge fort, et du fourneau de ladite l’amodiateur de le forge sieurs bâtiments, tant pour logement de ses serviteurs et forgerons. joint, que ladite de au bout fer sur le de fenderie biez, une forge Item, une autre usine, qui est En 1 772, on signale à Céamesson partient 1'172. , on signale, parmi les habitants et à Chamesson à une en une ‘ u (1 Un moulin banal transformé Il une appartient chaufferie et au même plusieurs en une filerie de fer, seigneur (marquis (le laquelle Vichy) une forge est en ruines. à fer, consistant en deux affineries, bâtiments. ____—________.__.__._..._._._—_—_————-———-——————-—-* {1) Statistique de 1790. {2) Recherches de feux de 1658. (3) Dénombremenls et reprises de 1 8311 maintenant d'environ 16,000 En 1 , 790, le haut—fourneau était par une batterie mois, d’un feu forge anglaise, une et une (tôle), de fer marchand. fileric qui avaient i en chômage depuis deux ans, et en vertu les feux de de lettres pa- 1777. forge, depuis 1790. hauts-four- 1822. ans deux aux feux d’affinerie, 1822, forge anglaise neaux ont été construits. L‘usine de Sainte-Colombe est aujourd’hui La a succédé, usine n’ait encore arrivée à et en où le travail des fers laminés est le est à six remplacée quintaux métriques et à Sainte-Colombe il existait 01‘1 7 En 1777, un hautefourneau et tentes du 2 g janvier de la même année. plus perfectionné et le nouveaux de France forges plus économique; et, quoique une des bien insuffisante paur motrice d’une force pu disposer que annuellement 95,000 quint. mét. de fer marchand. ses cette besoins, elle produire à usines des l'histoire la Seine—En traçant Du lavage des minerais defer dans la vallée de de cette cours le sur anciennement fort fer de la vallée de l’Ource, on a indiqué qu'il existait autorisés furent à situés Vilotte, par rivière de nombreux lavoirs à mine, dont quelques—uns, Bun- à Chamesson, à la même Ampiily, arrêt du 1 7 septembre 1 63'}. Il y avait aussi, époque, _______—____________._.___.._.__—_-—————'———-*— de Chamesson, la de Dénombrement seigneurie {1} de 1658. de feux Recherches (2) {3] Dénombrements .çlu Haut-Rbin {à} Statistique et. fiefs de 1632. supprimée en cinq deux feint d'affinerie y furent élevés trois le fondeur, le chassavant est Sainte-Colombe.——En dit le moulin Moulin—Rouge. remplacé 1 dater doit de des usines Chamesson La construction Chamesson.—-— qu’une une roulant haut—fourneau d’un se En 1 790 l’usine d’Ampiily compose d’aifinerie et d’une batterie occupant quatre ouvriers. dont (1) deux ouvriers. Ampilly, taille à battre batterye propre Seyne, n fer à faire {il de filerye propre la rivière de à fendre fer, ainsi propre fenderye une à sur Ifiôû. et reprises des fiefs du de la Haute-Satine de 1790. sur bailliage les tréfileries. en 1772. » de la Montagne , en 16äé.-—Voir les détails présentés à l'article 163?.