Lettre où il parle de sa carrière et des sacrifices qu'il a fait de « sa fortune pour sauver l'établissement qu'il a formé ». [[2]]

Cette page est protégée. Merci de vous identifier avant de transcrire ou de vous créer préalablement un identifiant.

rendre service et je ne me serais jamais imaginé qu'au lieu de concourir à accroitre un cabinet utile, on l'oublie aussi constament. J'[?] mon cher ami que je ferai tout pour continuer à être utile. Vous savez que j'ai professé pendant dix sept années publiquement et gratuitement et qu'en même temps je faisais les essais. Eh bien je n'en était pas moins heureux et estimé.

Adieu mon cher ami je vous embrasse de tout mon coeur Sage

J'espère que d'Hellencourt n'est plus diable boiteux. Je l'embrasse aussi.