Lettre où il parle des difficultés rencontrées dans l'exploitation de sa concession (à arriver jusqu'au filon de charbon etc) et sollicite le renouvellement de son autorisation provisoire. [[1]]

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Strasbourg le 11 brumaire 9 Vous nous rapportés sans doute Monsieur que c'est à vos bouchés que je dois la permission provisoire que le ministre m'accorda il y a 15 [ans] pour exploiter une couche de charbon de terre, la lettre que je viens d'addresser au conseil des mines [nous] instruit quel a été le succès de mes opérations et que pour les achever j'ai besoin de la prolongation de votre permission, persuadé que vous voudrez une continuer votre amitié, je la réclame encore pour vous engager à une faire [a__] cette permission le plus tot possible; si mon premier essay [essai] n'a pas eu le succes que j'en attendais c'est qu'un une postant trop a gauche j'ai tombé sur une des montagnes calcaires qui en formant le lit de ma houille la coupent en s'élevant : établi aujourd'hui sur le terrain ou je suis sur de l'existence du charbon je vous serai pas m'assurer de sa qualité et de sa [dériction] et puis je le vous suivrai de près, il parrait qu'il faudra le chercher très bas et que d'abord on ne pourra l'attendre que par des puits ; tout en suivant la direction des couches qui couvrent la houille le hazard m'en a fait découvrir une autre couche dans l'affleurement se trouve tout près du jour, mais c'est hors de ma concession et comme il faut