Cours d'exploitation des mines, [professé à l'Ecole royale des mines en l'Hôtel des Monnaies de Paris durant les années 1780]. [Page 137]

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|137 |une grille de fer sur laquelle on met le bois ; au dessus est un ouvrier et au dessus une ouverture pour y jetter le bois, ou la ferrue éxactement afin que l'air éxterieur ne puisse pas s'y introduire. on adapte à chaque côté du cendrier un tuyau de fer, l'un servait à retirer les cendres, au reste il doit être parfaitement bouché l'autre qui est plus long s'ajuste dans l'extrémité supérieure des tuyaux aspirateurs de l'air de se souterrain et qui se prolongent jusqu'aux endroits necessaires. |Dans son mémoire deja cité M Jars parle d'après Lebmann, d'un fourneau qui a perforér la forme d'une poële construit en pierre ou en brique, à coté d'un puits au fond duquel on veut faire entrer l'air éxtérieur ; au dessus de ce fourneau est une cheminée étroite, mais unpeu élevée. ou assujettît dans l'une des parois du four un tuyau de fer placé horisontalement dont l'éxtremité s'adapte à des tuyaux en bois bien joints afin que l'air ne puisse pas y rentrer. Ceux ci descendent dans le puits en suivant l'un de ses angles, ce qui n'est point gênant, s'ils font faits en planches, il suffit qu'ils ayent cinq à six pouces en carré et s'ils sont rond comme des pompes [ce qui est encore mieux] leur diametre dois être de six pouces au plus ; on a remarqué que des tuyaux plus gros ne font pas