Lettre où l'on parle de la santé de Gillet et de celle d'Aboville [Lettre où l'on parle de la santé de Gillet et de celle d'Aboville]

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Paris 24 mars 1813 Mon cher collegue de la société d'encouragement, je vous remercie des nouvelles que vous avés eu la bonté de me donner de votre santé. je ne vous avait pas su aussi serieusement malade. je ne vous croyait qu'un disposé par suite du très mauvais effet de votre prétendu remede pour la surdité. il n'aura pas été tout a fait inutile s'il a pu vous rendre un peu moins confiant dans ceux dont on cite des miracles. mais je partage votre confience pour ceux dont vos faites maintenant usage, et sur l'air de la campagne, faite y un peu d'exercice, mais ne le poussés pas jusqu'à la fatigue, et méfiés vous un peu du soleil de cette saison ainsi que du refroidissement. votre promenade dans les catacombes doit vous avoir faire connaitre le danger des transpirations arrétées. M.es d'Aboville et Lemmistier? sont bien